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Par Dona Rodrigue le 9 Mars 2016 à 13:01
Au moyen âge des BORDELS de l'EGLISE !!!
( Une richesse pour le clergé et les municipalités )
Plus lucratif que les dons des fidèles !!!En fait n'a rien changé, l'ETAT REPUBLICAIN, ( DROITE GAUCHE kif kif ) encaisse les TAXES des PROSTITUEES, sans état d'âme !
temps en temps, les FEMMES prostituées, sans doute les FEMMES les plus RESPECTABLES !ah oui ! l'Etat est contre l'ESCLAVAGE, mais ne supporte pas qu'on ne lui donne pas la part du gâteau !!
LA REPUBLIQUE Lève les bras pour plaindre - VOULAIT TAXER les CLIENTS ??
WHOOOOH ! ils taxent les PROFESSIONNELLES loi votée en mars 2015Les bordels de l’Église, un mal naturel pour éviter le péché
Au Moyen Âge, les responsables de l’ordre public, municipalités, seigneurs laïcs ou ecclésiastiques (évêques, abbés et pape), organisent progressivement la prostitution, déjà à partir du XIIe siècle, et surtout à partir du XIVe siècle, en tirant un profit financier.
On trouve même des bordels possédés par des monastères ou des chapitres.
La prostitution est toujours considérée comme naturelle, comme un moindre mal.
Au cœur des cités méridionales, les maisons de fillettes, les châteaux gaillards et autres maisons 3lupanardes3 deviennent des institutions municipales, entretenues et inspectées par les consuls.
On précisera que la majorité sexuelle est toujours de 12 ans au Vatican (elle était de 11 ans en France en 1832).
En Italie du Nord, les autorités expliquent même que le recrutement de prostituées attirantes permettra de convaincre les jeunes gens de se détourner de l’homosexualité.
Les villes et les bourgs ouvrent ainsi officiellement des maisons municipales de prostitution ou bien désignent les quartiers de la cité, généralement ses faubourgs, où la prostitution sera tolérée.
Dieu vous le rendra
Une richesse pour le clergé et les municipalités
Les municipalités profitent de ce commerce et s’enrichissent en prélevant des taxes sur les maisons publiques ou en mettant les fillettes à l’amende.
On constate souvent, en dépouillant les registres de comptes, que les loyers et les rentes tirés des maisons de prostitution sont traités au même titre que les autres revenus, y compris dans les registres des abbayes.
Au XIIIe siècle, les canonistes admettent d’ailleurs la recevabilité des profits tirés de la prostitution à condition que la fille exerce par nécessité, et non par vice et plaisir.
Les propriétaires des maisons, parfois des notables, n’ignorent rien des activités de leurs locataires, et encaissent sans vergogne les bénéfices.
C’est le cas des familles Villeneuve et Baronnat à Lyon, de l’évêque de Langres ou de l’abbé de Saint-Etienne à Dijon.
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