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    Carolina Otéro 

    Carolina Otero portait des vetements extraordinaires
    et elle était couverte de bijoux de grande valeur
    qui lui ont été offerts par les "grands de ce monde" de l'époque.
     

     

    Ses seins avait une telle aura
    qu'elle ont d'après la légende inspire Charles Dames, l'architecte du Carlton
    lorsqu'il a dessine les deux coupoles de l'Hotel.



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    Carolina Otéro est né le 4 novembre 1868
    dans des conditions très modestes à Valga en Espagne.
    Son vrai nom est Agustina Otero Iglesias.
    Elle commence à chanter à Barcelone puis à Marseille.
    Puis elle arrive à Paris ou elle chante dans le restaurant Grand Vefour,
    au Circe d'été, au Théatre des Mathurins ou aux Follies Bergères.

     

     

    En 1898 elle est répresente dans un mini court metrage à Saint Petersbourg.
    C'est un des premiers films de l'histoire fait par un employé
    de la société Lumière (inventeur du cinema), Félix Mesguich.
     

     

    Le film crée un scandale dans la Russie Impériale
    car un officier du Tsar apparait dans une scène juge scandaleuse
    ou Carolina Otéro danse de sa "Valse Brillante".


    Elle continue à chanter à Moscou, Londres,

    New York, Buenos Aires et Rio de Janeiro.

     

    au sommet

    Carolina Otéro photographié à Paris par Charles Reutlinger
    A Paris on l'apèle une des "Trois Graces" des Folies Bergères avec
    Emilienne D’Alencon et Liane de Pougy. La photo a été réalise par Charles Reutlinger,
    avec Charles Marville et Eugène Atget.
    Il n'y a pas de traces qu'elle soit un jour passé par la Cremerie de Paris

    qui était à cette époque un des meilleurs magasins de fromage
    qui attirait le "Tout Paris", mais cela est bien possible.


    Très vite Carolina Otéro devient une courtisane celèbre
    à la réquete d'hommes fortunes. Au sommet de la "belle Epoque"
    elle est la courtisane du Prince Albert I de Monaco,
    du roi Edouard VII d'Angleterre ou du Grand Duc Peter Nikolaevich de Russie.

    D'après la légende differentes hommes se serait suicidés pour elle.
    Une autre légende raconte, qu'au Cafe de Paris à Monaco,
    cinq dirigéants d'Europe auraient
    en même temps essaye d'attirer son attention:
    Le Tsar Nicholas II de Russie, Le Kaiser Wilhelm II d'Allemagne,
    Le Roi Edouard VII d'Angleterre, Le Roi Alfonso XIII de l'Espagne et

    le Roi Leopold II de Belgique.
    Beaucoup d'articles mentionnent



    Bendor à 24 ans

     

    le Duc de Westminster.
    comme un de ces amants,
    mais en réalité c'est completement faux,
    car d'après Begogna Angulo le Duc ne "l'appreciait guerre".
    Et de toutes les facons Carolina Otéro était bien trop agée pour pouvoir l'intéresser.

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    Begogna Angulo était toujours "au courant de tout"
    de ce qui se passait (et de ce qu'il ne fallait pas savoir)
    sur la côte d'Azur, à St Moritz, à Gstaad, à Paris, à Madrid
    et surtout sur la côte Basque
    ... et même des decennies plus tard
    ses informations ont été transmises
    par sa bouche directement à l'oreille de l'éditeur de ce site



    Au début de la première guerre mondiale la Belle Otéro a pris sa retraite.
    Elle aurait pu continuer sa carrière de chanteuse mais elle refusa desormais toutes les demandes.
    Grace à ces amants Carolina Otéro a su accumuler une fortune importante.
    On parle de $ 25 millons de ce qui correspond à environ 300 million Euro aujourd'hui.
    Ceci lui a permis d'achéter une sompteuse demeure dans le quartier de Saint Maurice à Nice.

    D'après Begogna Angulo le Tsar lui a même donne une villa sur la mer noire
    et il y avait diverses maison en France, pas seulement des villas
    egalement des immeubles de rapport, une demeure à Ostende, un yacht et des bijoux de grande valeur.



    Dependence du Casino

    Casino - Monte Carlo
    La Belle Otero est helas très dépensière ...
    mais surtout elle souffre de ludomanie,
    elle est completement accro au Casino.
    Pendant les 25 ans qui suivent - suite à cette dépendance psychologique au jeu -
    Carolina y perd toute sa fortune, soirée de casino après soirée,
    environ 250 millions d'euro (en valeur d'aujourd'hui)
    entre le casino de Monaco et celui de Nice.
    Il n'y a personne pour la sortir de la dependance ...
    A la fin de la seconde guerre il ne reste plus rien pour ses vieux jours.


    Hotel Novelty à Nice
    Par Begogna Angulo et probablement bien d'autres
    le Prince Rainier de Monaco
    entend en 1945 parler de ses difficultées
    et ainsi le directeur de la Société des Bains de Mer de Monaco,
    propriétaire du Casino

    décide de lui payer discretement une modeste pension
    jusqu'à la fin de sa vie.

    La Belle Otero à 92 ans
    Ceci permet à Carolina Otéro de vivre les 20 dernieres années, de 1945 à 1965
    dans le petit Hotel Novelty dans le quartier de la Gare de Nice.
    Comme d'autres gens qui ont été ruinés pas la dépendance psychologique au casino
    elle vit dans la solitude
    ... seulement les oiseaux sont la pour écouter ses histoires.

     

    A la fin de sa vie elle était totalement deconnectée 
    n'écoutant plus personne et parlant sans cesse de son passé:
    les fêtes, les Princes, Champagne ....
    les villas et les Hotels magiques:

    Hotel Carlton, Hotel du Cap,
    Hotel Hermitage, l'autre 
    Hotel du Cap, Hotel du Palais.

    Au moins elle avait de beaux souvenirs que personne a pu lui prendre ...

    Les rêves lui ont permis de continuer
    ...
    de 76 ans jusqu' à l'age de 96 ans.

    Elle meurt dans son modeste logement Niçois le 10 avril 1965.

    SOURCES

     

     La Belle Otero est helas très dépensière ...

    mais surtout elle souffre de ludomanie,
    elle est completement accro au Casino. 
    Pendant les 25 ans qui suivent - suite à cette dépendance psychologique au jeu -
    Carolina y perd toute sa fortune, soirée de casino après soirée, 
    environ 250 millions d'euro (en valeur d'aujourd'hui) 
    entre le casino de Monaco et celui de Nice.
    Il n'y a personne pour la sortir de la dependance ... 
    A la fin de la seconde guerre il ne reste plus rien pour ses vieux jours.

     

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